La genèse algébrique des ensembles de nombres

  Si l'ensemble des nombres entiers N est ramené à une suite de raison 1 contenant l'ensemble de ses sous-ensembles, et que tout nombre est recomposition de chiffres alors au lieu d'écrire N, on peut écrire en partant de N = 0, la suite finie de 0 1 2 3 4 qui permet de connaitre et écrire les chiffres permettant de recomposer le reste des chiffres donc de 0 à 9, puis après tous les entiers naturels

 Et donc les chiffres suivants connus de 5 à 9 ne pourraient représenter que 5 nouveaux ensembles se succédant chacun en suite de +1 et donc comprenant chacun son prédécesseur...ce qui est curieusement la base 10 suffisante et nécessaire dès l'origine que l'on aurait du choisir pour développer l'algèbre et c'est ce que l'on a fait par

N décomposable chiffré et opéré par 0 1 2 3 4 et puis
5 ensemble Z en rajoutant les négatifs
6 ensemble D en rajout des décimaux
7 ensemble Q des fractions
8 ensemble R réels
9 ensemble C des complexes qui donc n'aurait plus besoin d'ensemble successeur et tous les contenir


   Si je ne peux pas être nul part et que je crée cette notion chiffrée, alors je peux créer le 0 et lui donner cette propriété originelle et dire que je peux me rendre ensuite à tout nombre par phases successives d'inclusion de ces ensembles et donc ne pas avoir besoin de créer un emplacement 0 = 0

   Je peux donc alors représenter idéalement au travers de la numération purement chiffrée, le premier carré magique

4   9   2
3   5   7
8   1   6

  Curieusement toutes ses valeurs de sorties en lignes colonnes et diagonales retournent au triangulaire de 5

  Mouvements = opérations et on a des variations absolues en suite de 4 valeurs 1 2 3 4 selon ces lignes colonnes et diagonales centrales et donc bien la notion de réduction de l'algèbre à ces 4 opérations incompressibles d'origine

  Et donc au final, je vais pouvoir retrouver une identification numérique intrinsèque au chiffre...
0 = un nombre quel qu'il soit et ses 4 opérations de base en algèbre....1 2 3 4 pour notions + - × ÷ formant N puis les 5 ensembles suivants et seulement 5 pour pouvoir poser tous les problèmes algébriques possibles

La première addition naît de 1 + 2 = 3
La première soustraction 1 = 3 - 2
La première multiplication 2 x (3 - 1) = 4
La première division 2 = 4 / (3 -1)

  Un chiffre nombré d'une opération se retrouve alors isolable formant l'unique terme d'un côté de l'équation et donc auquel associer NATURELLEMENT une notion d'opération intrinsèque qui en fait sa raison d'être

0 en notion de nombre

3 en notion d'addition
1 en notion de soustraction
4 en notion de multiplication
2 en notion de division



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