Du signe de l'égalité apparu de la soustraction d'un nombre de l'infini

De la nécessité de reposer le signe d'égalité utilisé dans toutes les démonstrations
 
  Vraiment la difficulté de poser le signe d'égalité dans cet exposé  : en plus, il est présent dans toutes les démonstrations et il fait rentrer en équation la notion d'espace/temps dont l'observateur qui pose son calcul ne peut s'affranchir...

 Soit l'infini et rien d'autre posé d'abord seul

  Puis je retire de l'infini l'élément 1 et en faisant rigoureusement cette soustraction, en mème temps j'isole et je prends cet élément 1 et alors là je vois apparaitre la simultanéité que cache l'égalité et je peux écrire :

1 = l'infini - 1

 Les maths comme la physique apparaissent à l'état quantique du 1 sous les deux états et ici je vais en plus pouvoir trouver une valeur locale PERTINENTE de l'infini (qui est  donc TOUJOURS bidimensionnel et n'obéissant qu'à cette seule règle) qui en tant qu'infini pourra varier de toute valeur sans limite et devenir pour l'élément 1....

1 + 1 = 2

 Mais cela change tout, absolument tout au niveau de la compréhension et des implications possibles ; on voit émerger tout élément extrait de l'infini comme une moyenne de deux dimensions : 1 est à la fois un espace d'ensemble 1 et une valeur d'ordre trouvée....le premier ensemble trouvé est 0 et la valeur d'ordre trouvée pour 1 est 2 (puisque 1 succède à 0) et donc on a pour tout x, un x - 1 espace et une valeur d'ordre x + 1 (qui est en fait son temps d'arrivée)

 Tout nombre apparu est donc une moyenne Espace/temps relative à celui-ci

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