Le point 0...se pose le problème du 0 autant en physique qu'en mathématique
0 est en fait un successeur apparu par retrait de la chaîne de sommation dans les entiers naturels très précisément,
Celui de 7 en retrait originel...et donc on a aussi la valeur ordinale de 1 2 3 4 5 6 0
et les couples solutions tous de longueur de temps ou d'espace de 7...1 6, 2 5, 3 4 ce qui précontraint une forme géométrique où le 0 avant BigBang central maintiendra 7 en dehors par somme des sommets opposés, et donc la première forme originelle apparue du 0 représenté....le maintien du 0 est ici absolu de tous les nombres de l'ordination
................6.............
4..............................2
................0................
5..............................3
................1.............
Le cercle formé vaut en 7 opérations en partant de 1, les opérations des arcs sa valeur universel 360.....
notion de développement base 10....1+5+4 après celle base étoile,
fois 6 donc de valeur relative absolue de chaque 6 arcs,
puis fois 2 arrivé au sommet du 1er triangle (1 4 2 ) de valeur 7 aussi ainsi doublé de notion 7 à ce point par aussi sommet inverse et centre triangle en 0,
et enfin fois 3, qui donne aussi le triangle formé en supplément de double valeur 7 (5 6 3) en point central avec encore valeur sommets opposés finale de 4 3 et on a fait un cycle par X1 du tout...6 fois valeur 7 pour pose 0..7 7 7 7 7 7 autour en sommets opposés et en valeurs de triangles
Récapitulons le cercle bouclé revenu à point de départ 1 autour de 0, changement de base (1+5+4 passe en base 10) puis multiplication des sommets
(1+5+4) × 6 × 3 × 2 ×1 = cercle initial de valeur absolue 360 par le 0 absolu apparu du développement de 7 à travers tout...et si tout est énergie...alors 7 est le nombre dédié de la CREATION entropique du 0, et donc il y a bien CREATION d'énergie pour cet espace-temps de valeur 0 maintenue avant seconde création d'énergie qui produira le Big Bang dans cette matrice
Cette forme géométrique connait des polymorphes multiples
Redéfinition du terme d'égalité commun à toutes les démonstrations
Toutes les démonstrations mathématiques ne connaissent pas non plus outre la propriété de sommation de 0 de son unique prédécesseur 7 de ce qui va induire un nouvel axiome des symétries négatives, la justice mathématique de poser le signe de l'égalité soit =, pourtant omniprésent...qui doit être redéfini au sein d'une infinité de termes
Proposition fondée pour redéfinir le repère essentiel du signe de l'égalité qui jamais ne fut fait : comment inclure l'infini dans tout ce qui ne semble pas être infini en valeur absolue d'état quantique de tout signe ou nombre ensuite....
1 = l'infini - 1
2 = l'infini - 2
Etc....en effet, le rapport de fractionner l'infini en semblant extraire de son ensemble (ici par opération -) ce qui s'y trouve toujours puisque l'infini reste infini, implique l'état du nombre sous les 2 états donc quantique SIMULTANÉMENT et donc une symétrie parfaite maintenue avant et au point T0 de seconde création d'énergie qui justifie l'emploi de l'égalité qui seul sous cette forme permet le maintien logique de l'équation et permet de déterminer les valeurs pertinentes d'APPROXIMATION de l'infini, variables relativement à elle
Ainsi la valeur approximative de l'infini pour 1 devient 2...
1 = l'infini-1
1+1 = l'infini
Et donc la valeur de l'infini variera en limite réelle, pour une infinité d'éléments mais de manière pertinente
0 est en fait un successeur apparu par retrait de la chaîne de sommation dans les entiers naturels très précisément,
Celui de 7 en retrait originel...et donc on a aussi la valeur ordinale de 1 2 3 4 5 6 0
et les couples solutions tous de longueur de temps ou d'espace de 7...1 6, 2 5, 3 4 ce qui précontraint une forme géométrique où le 0 avant BigBang central maintiendra 7 en dehors par somme des sommets opposés, et donc la première forme originelle apparue du 0 représenté....le maintien du 0 est ici absolu de tous les nombres de l'ordination
................6.............
4..............................2
................0................
5..............................3
................1.............
Le cercle formé vaut en 7 opérations en partant de 1, les opérations des arcs sa valeur universel 360.....
notion de développement base 10....1+5+4 après celle base étoile,
fois 6 donc de valeur relative absolue de chaque 6 arcs,
puis fois 2 arrivé au sommet du 1er triangle (1 4 2 ) de valeur 7 aussi ainsi doublé de notion 7 à ce point par aussi sommet inverse et centre triangle en 0,
et enfin fois 3, qui donne aussi le triangle formé en supplément de double valeur 7 (5 6 3) en point central avec encore valeur sommets opposés finale de 4 3 et on a fait un cycle par X1 du tout...6 fois valeur 7 pour pose 0..7 7 7 7 7 7 autour en sommets opposés et en valeurs de triangles
Récapitulons le cercle bouclé revenu à point de départ 1 autour de 0, changement de base (1+5+4 passe en base 10) puis multiplication des sommets
(1+5+4) × 6 × 3 × 2 ×1 = cercle initial de valeur absolue 360 par le 0 absolu apparu du développement de 7 à travers tout...et si tout est énergie...alors 7 est le nombre dédié de la CREATION entropique du 0, et donc il y a bien CREATION d'énergie pour cet espace-temps de valeur 0 maintenue avant seconde création d'énergie qui produira le Big Bang dans cette matrice
Cette forme géométrique connait des polymorphes multiples
Redéfinition du terme d'égalité commun à toutes les démonstrations
Toutes les démonstrations mathématiques ne connaissent pas non plus outre la propriété de sommation de 0 de son unique prédécesseur 7 de ce qui va induire un nouvel axiome des symétries négatives, la justice mathématique de poser le signe de l'égalité soit =, pourtant omniprésent...qui doit être redéfini au sein d'une infinité de termes
Proposition fondée pour redéfinir le repère essentiel du signe de l'égalité qui jamais ne fut fait : comment inclure l'infini dans tout ce qui ne semble pas être infini en valeur absolue d'état quantique de tout signe ou nombre ensuite....
1 = l'infini - 1
2 = l'infini - 2
Etc....en effet, le rapport de fractionner l'infini en semblant extraire de son ensemble (ici par opération -) ce qui s'y trouve toujours puisque l'infini reste infini, implique l'état du nombre sous les 2 états donc quantique SIMULTANÉMENT et donc une symétrie parfaite maintenue avant et au point T0 de seconde création d'énergie qui justifie l'emploi de l'égalité qui seul sous cette forme permet le maintien logique de l'équation et permet de déterminer les valeurs pertinentes d'APPROXIMATION de l'infini, variables relativement à elle
Ainsi la valeur approximative de l'infini pour 1 devient 2...
1 = l'infini-1
1+1 = l'infini
Et donc la valeur de l'infini variera en limite réelle, pour une infinité d'éléments mais de manière pertinente
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